Janvier
[vimeo 314558333 w=1024&h=576]
Musique : From The Sea/It Looms (Chapters I & II) by Leon Vynehall
Et vous ? Comment vous voulez que soit l’année 2019 ?
Projet 2019 – Une vidéo par mois
Eh oui, je suis de retour avec mes vidéos mensuelles ! Je réfléchissais déjà depuis quelques mois quel serait mon projet de l’année 2019. Je voulais clairement revenir à la vidéo, ce format que j’avais découvert il y a 2 ans avec mon projet 365. J’avais quelque part déjà préparé le terrain en 2018 : je suis enfin passée de l’iMovie au Final Cut Pro, et j’ai réalisé quelques vidéos pour apprendre les bases de ce programme tout nouveau pour moi. Forcément, en passant au programme professionnel, je peux monter avec beaucoup plus de précisions et de flexibilité.
La question était : « est-ce que je recommence un 365 ? » Je n’avais pas forcément envie de refaire le même 365 qu’en 2017, à savoir filmer 2 secondes par jour, et d’en faire un montage chronologique de mes séquences journalières. J’avais envie d’aller un peu plus loin, avec d’autres restrictions et d’autres techniques. Et pour être honnête, sans aucune certitude, l’année 2019 avait débuté, moi avec l’appareil photo à la main, à filmer des scènes sans vraiment savoir où j’allais.
Je voulais faire des vidéos avec un peu plus de liens entre les différentes séquences, et petit à petit le format des publicités japonaises m’est venue en tête : des vidéos d’une minute, avec un thème, contenant un message ou du moins quelque chose qui suscite une réflection chez le spectateur. Les publicités japonaises sont surtout connues chez les occidentaux pour leur côté légèrement déjanté, mais il y a une toute autre catégorie bien appréciée par les japonais, qui sont bien plus poétiques, presque contemplatives et souvent en rapport avec les quatre saisons. Et c’est de là que j’ai puisé mon inspiration pour cette année : je ferai donc une vidéo par mois d’une durée d’une minute, avec un fil conducteur, plus ou moins en rapport avec la saison.
Et cette fois, pas de restriction chronologique entre les séquences, ni pour leur durée. J’ai donc beaucoup plus de liberté dans le rythme et dans les choix des scènes à filmer. Par exemple, pour cette première vidéo, j’ai appris une nouvelle technique, les timelapse, chose que je ne pouvais pas vraiment introduire dans mon projet précédent, à cause de leur durée. Le fait que je ne suis pas obligée de mettre les séquences de chaque jour me permet aussi de mieux sélectionner les meilleures scènes, et d’avoir un rendu moins inégale qu’en 2017. Je vois dans ce nouveau projet un terrain illimité d’apprentissages, de défis et j’ai déjà tellement hâte de commencer ma prochaine vidéo !
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